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Premièrement, les personnages ne sont pas tous aussi stéréotypés que ce que j’en disais, ils sont hétérogènes et représentent la société dans leur diversité. Les noirs ne sont pas voleurs, ni violeurs, les arabes ne sont pas d’affreux terroristes, les homosexuels ne sont pas des folles… et l’autrice parle du racisme. D’autres aspects sociétaux sont parsemés ça et là.
La thématique de l’eugénisme est présente, sous la forme d’une sorte d’utopie qui semble virer vers la dystopie. Le consentement est aussi à l’ordre du jour, bref, des thématiques actuelles dans une société cosmopolite et diverses.Deuxièmement, Charlotte Bona sait mener son intrigue, qui se densifie au fur et à mesure et prend un tournant différent de ce que je pensais. Plusieurs fois, j’ai du combattre le sommeil, arriver en retard au boulot, annuler une séance de muscu, pour continuer à lire un peu plus longtemps.
Les ressorts et personnages se nuancent, prennent de l’amplitude et se dévoilent peu à peu. Un bon page turner une fois zappé l’histoire sentimentale.